Παρασκευή 25 Σεπτεμβρίου 2020

Symphonie confinée - La tendresse

 
Valentin Vander a réuni 45 musicien.nes et chanteur.ses depuis leur lieu de confinement pour interpréter cette sublime chanson immortalisée par Bourvil en 1963.











“On peut vivre sans richesse Presque sans le sou Des seigneurs et des princesses Y en a plus beaucoup Mais vivre sans tendresse On ne le pourrait pas Non, non, non, non On ne le pourrait pas On peut vivre sans la gloire Qui ne prouve rien Être inconnu dans l'histoire Et s'en trouver bien Mais vivre sans tendresse Il n'en est pas question Non, non, non, non Il n'en est pas question Quelle douce faiblesse Quel joli sentiment Ce besoin de tendresse Qui nous vient en naissant Vraiment, vraiment, vraiment Le travail est nécessaire Mais s'il faut rester Des semaines sans rien faire Eh bien, on s'y fait Mais vivre sans tendresse Le temps vous paraît long Long, long, long, long Le temps vous parait long Dans le feu de la jeunesse Naissent les plaisirs Et l'amour fait des prouesses Pour nous éblouir Oui mais sans la tendresse L'amour ne serait rien Non, non, non, non L'amour ne serait rien Quand la vie impitoyable Vous tombe dessus On n'est plus qu'un pauvre diable Broyé et déçu Alors sans la tendresse D'un cœur qui nous soutient Non, non, non, non On n'irait pas plus loin Un enfant vous embrasse Parce qu'on le rend heureux Tous nos chagrins s'effacent On a les larmes aux yeux Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu Dans votre immense sagesse Immense ferveur Faites donc pleuvoir sans cesse Au fond de nos cœurs Des torrents de tendresse Pour que règne l'amour Règne l'amour Jusqu'à la fin des jours”

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